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Crise migratoire: la cause financière

La crise migratoire, qui a fait suite à la crise économique, comporte - en apparence - de fortes contradictions. En effet, organisée officiellement comme une opération humanitaire de masse, elle est désignée par ses opérants, ainsi, comme une œuvre à la faveur des immigrés clandestins, renommés pour l'occasion "réfugiés" envers et contre les chiffres de l'ONU (2.65% des migrants remplissent les conditions légales de cette désignation selon l'agence des Nations Unies pour les réfugiés - UNHCR, pour l'année 2016). Qui plus est, ces pauvres gens sont déplacés de force de par la mainmise économico-militaire, dans leurs régions d'origine, d'entreprises multinationales qui collaborent directement avec les politiciens et médias qui proposent ensuite une "solution" au problème crée par leurs partenaires

Il ressort donc que ce n'est pas par militantisme humaniste que cette crise est organisée, ou du moins laissée faire avec encouragements (publicité, collectes, appels aux "guerres humanitaires", etc.).

Quelle en est donc la cause réelle, alors?

Faisons une hypothèse.

Les Etats se transforment en entreprises via la doctrine macroniste de l'Etat-managérial, ainsi sont reprises par les Etats, secteur public, les méthodes du secteur privé. En tant qu'entreprises, de la sorte, ces Etats affichent leur bonne santé apparente par leur nombre de clients, autrement dit de citoyens, comme de citoyens-clients potentiels, qui sont une promesse de croissance. Chose qui n'est pas assurée par la population autochtone, de par la chute du taux de natalité due à l'incompétence des gestions nationales.

Le fil se dessine.

En outre, une méthode très à la mode, et pourtant fort peu connue, est celle dite du Système de Ponzi. Charles Ponzi était le Madoff des années 20, et a institué une fraude qui consiste en ceci:

1) Faire venir des fonds d'investisseurs en leur promettant remboursement avec intérêts

2) Utiliser l'argent récolté pour faire de la publicité à l'entreprise, ce qui attire de nouveaux investisseurs, plus nombreux, dont l'argent permet de payer les premiers sans réelle création de richesses.

3) Continuer en augmentant à chaque étape le nombre d'investisseurs: la fameuse bulle financière.

4) Atteinte du taux critique avant baisse des investissements: les "initiés" (par délit d'initié) se retirent pour sauver leur mise (voire, seulement, l'organisateur de l'arnaque).

5) Baisse des investissements: impossibilité de rembourser le palier précédent, la bulle éclate, et ruine les investisseurs présents au moment fatidique. L'entreprise est mise en faillite, défaut de paiement, fini terminé.

Ce mécanisme peut engranger plusieurs acteurs frauduleux s'arnaquant entre eux en bulles concomitantes (quoique, bien entendu, les opérants initiés étant au courant ils se retireront à temps): on parle alors de chaîne de Ponzi, comme dans le cas de la crise de 2008.

Imaginons maintenant que l'entreprise frauduleuse soit l'Union Européenne (cet Etat dans les Etats, qui les supplante progressivement en un Etat fédéral semi-privé), dont les citoyens-clients sont les investisseurs à titre de personnes imposables. Nouveaux citoyens, nouveaux clients?

Clientèlisme: une question de confiance

Vous avez bien compris: la crise migratoire permet alors d'effectuer des prévisions d'entrées d'impôts et de taxes fictives, basées sur les prévisions fallacieuses d'imposition et de taxes sur la consommation de nouveaux citoyens-clients qui, en réalité, coûtent plus qu'ils ne dégagent de richesses (assistance, aides sociales, regroupement familial, criminalité, gestion des flux, frais de justice, etc.) - or, sur le papier, ils en rapportent, de prime abord. Qui plus est, les coûts plombant le mécanisme officiel peuvent facilement être écartés des calculs à titre d'"externalités". C'est bien là une fraude comptable.

Ces prévisions fictives d'augmentations des recettes fiscales peuvent ensuite être présentées aux créanciers bancaires des Etats envers lesquels ils sont endettés (notamment via les Lois Rotschild), comme "garantie" de remboursement de la Dette publique. Autrement dit, les calculs prévisionnels d'entrées d'impôts, fictifs, servent de promesse de remboursement pour "gagner du temps" face à l'épée de Damoclès des Marchés Financiers, et l'immigration de masse se déguise en afflux de clientèle. Il va sans dire que plus la dette augmente, plus les promesses doivent suivre, donc plus il faut y intégrer de monde, et plus la dette augmente...

Cela permet donc au mécanisme de la dette de se maintenir artificiellement, au lieu de simplement mettre l'Etat en défaut de paiement, ou de renégocier les taux d'intérêts - ce qui règlerait le problème, mais cesserait aussi les flux financiers concernés entre des acteurs qui en profitent. Une solution exclusivement, ainsi, au service de politiciens et juges qui comptent sur la dette pour se faire payer (car pour eux ce n'est pas tant une dette qu'un prêt).

Cette chaîne de Ponzi européiste serait donc le lien savamment censuré (expérience faite sur Wikipédia, que vous pourrez constater en regardant les différentes versions de l'article "Crise migratoire en Europe" sous l'Historique, au 30 juin 2017) entre les deux crises, la crise économique, et la crise migratoire. Elles ne feraient en fait qu'une, se nourrissant l'une de l'autre, exponentiellement, jusqu'à implosion. Espérons-la proche, si tenté...


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